Images de la page d'accueil
Texte, bouton et/ou inscription à la newsletter
Ajoutez un logo, un bouton, des réseaux sociaux
AGIR CONTRE LE HARCÈLEMENT
Ne pas rester seule, chercher des appuis, repérer les témoins.
Il faut penser impérativement à recueillir toutes les preuves possibles : tout imprimer, faire des captures d’écran des messages reçus (emails, sms…), vidéos, photos…
Toutes ces preuves sont admissibles en justice quels que soient le lieu et le contexte du harcèlement.
C’est à partir de tous ces éléments que l’enquête permettra de remonter jusqu’aux auteurs du harcèlement.
Dans le cas du cyberharcèlement, vous pouvez ensuite :
signaler le contenu directement auprès des responsables du site sur lequel il a été publié ;
demander le retrait des contenus illégaux à leur auteur ;
demander le retrait des contenus illégaux à l'hébergeur du site ;
voir aussi dans le chapitre Violences faites aux femmes, le paragraphe "la marchandisation de la sexualité d'autrui" qui mentionne la cyberexploitation sexuelle et le portail Pharos.
Par ailleurs, n’hésitez pas à évoquer ce que vous pouvez subir au travail auprès d’un médecin spécialisé dans ce domaine ou le médecin du travail.
A LYON :
Il est possible de signaler une agression, incident, incivilité, harcèlement sexiste... sur le site des transports en commun (TCL) , ici : www.tcl.fr/sur-le-reseau-tcl-le-harcelement-na-pas-sa-place-0
Plusieurs milliers de caméras ont été installées sur le réseau( TCL) pour capturer les scènes de violences, d’incivilités ou de harcèlements …
il faut porter plainte contre l’auteur et dans le cas du cyber harcèlement, contre l’éditeur et/ou hébergeur du site internet s’ils ont eu connaissance de l’existence de ces contenus insultants et qu’ils ne les ont pas rapidement retirés.
Si vous ne savez pas contre qui orienter votre plainte car l’auteur du harcèlement porte un pseudonyme, il conviendra de porter plainte contre X.
Dans le cadre de l’enquête, l’éditeur et/ou hébergeur du site internet se verront contraints de donner toutes les informations qu’ils ont en leur possession au sujet de leurs usagers.
Vous devez vous adresser à un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie de votre choix